La consolante d'Anna Gavalda
La consolante
d'Anna Gavalda
Le Dilettante, 636 pages
24,50€
Voici l’histoire :
« Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d'une femme qu'il a connue quand il était enfant, et adolescent.
« Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l’impression d’avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu’il est devant l’évier, s’asperge le visage en gémissant.
Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. Allez... C’est fini.
C'est fini, tu comprends ?»
Le problème, c'est que non, il ne comprend pas. Et il n'y retourne pas, vers la vie. Il perd l’appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tour se fissure en lui; Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l’évidence : l’échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir.»
Mon avis :
J’aurai essayé mais je n’ai pas pu arriver au bout. J’ai pourtant persévérer mais non passer les 300 premières pages, l’ennui, le style assez particulier sont venus à bout de moi.
Je ne partais pourtant pas vaincue malgré les désastreuses critiques que j’ai lu un peu partout, d’ailleurs le début de l’histoire m’a plu mais arriver à un certain stade j’ai commencé à trouver le temps long et le livre de plus en plus gros.
J’ai continué mais mes yeux ne cessaient de zieuter vers ma prochaine lecture et je me suis donc résolue à abandonner pour le bien-être de mes yeux bien sur, je m’en serais voulue de les torturer ainsi pendant encore 300 pages à peu près.
Il est vrai qu’on était quand même en droit d’attendre mieux d’Anna Gavalda mais bon tous les livres ne peuvent pas être bons et puis peut-être est-ce du au fait qu’elle est voulue évoluer et changer de style.
En tout cas la sauce n’a pas prise avec moi. Dommage espérons que les suivants seront meilleurs.
Ma note : 3/10.